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À la découverte des collectionneurs de l'exposition

Amélie Lauve


Amélie Lauve, ostiarocrochophile

D'où est venue cette idée de collection ?

Je n'ai pas vraiment choisi mes collections. Comme le dit Jacques Attali, ce sont plutôt mes collections qui m'ont choisie. J'en parle au pluriel car j'ai toujours « collectionné », réuni, amassé des choses, des objets – comme des amis (ce qu'il y a de mieux, bien sûr).

Depuis les poupées de tous les pays, en passant par :
  • des revues datant de l'enfance de ma mère,
  • des pochettes d'allumettes, ramenées de ses voyages par mon père, suivies par les boîtes d'allumettes,
  • les cartes postales héritées de ma grand-mère,
  • les sous-bocks de mes bières belges,
  • les cuillères de mon autre grand-mère,
  • les boîtes de ma maman…
Et, depuis quelques années, depuis mes premiers voyages d'affaire, et grâce aux voyages de mes amis et collègues, de la famille, de mon ex-mari et de sa femme, je collectionne les « ne pas déranger » des hôtels... Tout dernièrement, j'ai rapporté un « accroche-porte » de l'hôtel où je passais la nuit à l'occasion d'une excursion organisée par les Amis du Musée de Louvain-la-Neuve.

Amélie Lauve


• Pourquoi ? Quelles motivations ?

On sent un frétillement du cœur ; il bat un peu plus vite, on est un peu fébrile. Quand on a la chance de tenir en main un nouvel objet pour sa collection, cela procure un sentiment merveilleux.

Que pensent ma famille, mes amis de cette passion ?

Mes proches ont souvent un petit sourire indulgent à la commissure des lèvres. Et ils savent comment me faire plaisir !

• Mon rêve de collectionneur ?

Mettre en valeur cette collection d'« accroches-portes »... ou au moins y mettre de l'ordre.

• Mon objet préféré ?

C'est toujours le dernier. Ou celui que je trouverai prochainement.

Amélie Lauve




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